Breaking News: “A Heartbreaking Farewell: The Touching Story of Young Liverpool Superfan Isaac Kearny’s Emotional Plea to Say Goodbye to His Hero”
À Anfield, dans la paisible banlieue de Liverpool, lamour dun jeune garçon pour son idole, Diogo Jota, a touché le monde entier. Issac Kearny, un jeune garçon de 10 ans connu comme le plus fervent supporter du Liverpool FC, a été bouleversé par la tragique nouvelle de la mort de Jota dans un accident de voiture le 3 juillet 2025, aux côtés de son frère, André Silva. Dès quIssac a appris la nouvelle, sa petite silhouette a été secouée de sanglots, son monde sécroulant alors quil suppliait ses parents dassister aux funérailles de Jota à Porto, au Portugal un appel désespéré pour un dernier adieu au joueur qui représentait tout pour lui. Derrière ce parcours déchirant se cache une histoire de dévouement, de perte et du lien indéfectible dun enfant avec son idole, qui na laissé personne indifférent.
Lamour dIssac pour Liverpool a commencé à lâge de cinq ans, lorsquil a vu pour la première fois Jota, surnommé « Jota le Créateur », marquer un but décisif contre Arsenal. Serrant son maillot n° 20, Issac assistait à tous les matchs à domicile possibles, le visage peint en rouge, scandant « Youll Never Walk Alone » avec une passion inébranlable. Les 65 buts de Jota en 182 apparitions, dont un but victorieux en Premier League en 2024, ont fait de lui le héros dIssac, un symbole de courage et de courage. Lorsque la nouvelle du violent accident survenu sur lautoroute A-52 en Espagne a éclaté, Issac a fondu en larmes, sa mère, Sarah, se souvenant de son appel murmuré : « Je dois dire au revoir à Diogo. » Son chagrin, partagé dans une publication virale sur X, a eu un écho mondial, un utilisateur écrivant : « Le chagrin dIssac est le nôtre YNWA. »
Malgré des difficultés financières, la famille Kearny a organisé son voyage à Porto pour les funérailles de Jota, le 5 juillet 2025, à léglise Matriz de Gondomar. Isaac, tenant à la main une écharpe portant linscription « Forever Red », sest joint aux personnes en deuil, dont des joueurs de Liverpool comme Mohamed Salah et Virgil van Dijk, pour rendre hommage à Jota et André. La cérémonie, qui a suivi une veillée funèbre à la Capela da Ressurreicao, a été dune grande splendeur. La petite silhouette dIsaac se détachait alors quil déposait un bouquet de roses rouges sur les marches de léglise en murmurant : « Merci, Diogo ». Son geste, immortalisé par les médias locaux, a ému lassistance, le Premier ministre portugais, Luis Montenegro, soulignant la « profonde tristesse » du moment.
Le voyage dIssac à Porto était plus quun adieu ; cétait un témoignage du lien qui unit un jeune supporter et un club qui transcende le sport. Liverpool, dévasté par la perte de Jota à 28 ans, a ouvert des livres de condoléances physiques et numériques à Anfield, où Issac a signé : « Tu seras toujours mon héros. » La décision du club dimmortaliser le maillot n° 20 de Jota, rapportée par Liverpool.com, a fait écho à la dévotion dIssac, les supporters sur X layant qualifié de « juste hommage ». Même les supporters rivaux dEverton ont déposé des fleurs, une unité quIssac a reflétée en remerciant un supporter dEverton dans le sanctuaire improvisé dAnfield.
La tragédie, aggravée par le récent mariage de Jota avec Rute Cardoso le 22 juin, a profondément marqué Isaac, qui rêvait dun « été parfait » pour Jota après la victoire du Portugal en Ligue des Nations. Ses parents, Sarah et Tom, ont confié sur X que les larmes dIssac reflétaient non seulement une perte personnelle, mais aussi la fragilité de la vie, un sentiment repris par la poignante chronique dIan Herbert dans le Daily Mail. La détermination dIssac à assister aux funérailles, malgré un voyage de 2 400 kilomètres, a inspiré une collecte de fonds communautaire qui a permis de récolter 2 000 £, assurant sa présence à Porto.
Alors quIsaac se tenait parmi les personnes en deuil, sa petite main serrant celle de son père, il incarnait lesprit de Liverpool : lunité dans le deuil. Les funérailles, auxquelles assistaient des personnalités comme José Mourinho, qui a qualifié Jota de « gentil », ont marqué un adieu collectif, mais la présence dIsaac a ajouté une dimension personnelle et crue. Son parcours, fait damour et de perte, nous rappelle que les héros vivent dans le cur de ceux quils inspirent. Puisse le petit cur dIsaac trouver la paix, sachant que ses adieux ont honoré un héros dont lhéritage à Anfield perdure à jamais.
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